À propos

De la vidéo à la photo

À l’origine, mon but était de démarrer une chaîne Youtube de vulgarisation informatique. Pour cela, je m’étais offert un petit caméscope numérique. La qualité n’était pas là, mais le travail était fait. Mais un jour, le « kaméhamescope », comme je l’appelait, a rendu l’âme.

C’est alors avec les conseils d’un ami que je me suis offert un petit bridge pour continuer à faire de la vidéo, mais aussi pour m’essayer à la photographie.

Une année décisive

C’est lors d’une année d’études en Angleterre que j’ai commencé à prendre en main les différents aspects de la photographie. J’y ai rejoint un club étudiant de photographes, où j’ai pu apprendre les bases. Le campus était rempli d’animaux, dont mes préférés étaient les écureuils.

Leur expressivité m’a fait craquer, et c’est principalement grâce à eux que je me suis dirigé vers la photographie animalière. Un renard s’est aussi fait connaître durant cette année, passant régulièrement devant ma fenêtre. Malheureusement, je n’ai jamais réussi à en capturer un beau portrait.

Une vraie thérapie

Après mes études, j’ai décidé de passer au niveau supérieur. Les sorties photos n’étaient pas de simples moments de détente: je tirais une vraie satisfaction au fait de rentrer avec une belle photo.

Début 2020, l’achat de mon premier boîtier hybride et mes premières optiques a coïncidé avec le premier confinement. Il n’était plus question de sorties photos, mais de photos dans le jardin. Ces moments m’ont permis de mieux supporter la solitude, car suivre la vie des oiseaux, insectes et reptiles ne me serait pas venu à l’idée sans mon appareil photo.

Durant cette période, mon intérêt pour les animaux n’a fait que grandir. J’ai appris le nom de beaucoup d’espèces, découvert leurs comportements… Ma vision du monde a changé.

À la fin du premier confinement, j’ai étendu mes horizons photographiques, en sortant de la sphère animalière, pour inclure du paysage et de l’urbain.

Mon appareil me suit presque partout depuis.

Les beautés du monde

Mon voyage est loin d’être terminé: plus j’en apprends, plus je vois de choses à découvrir.

Le monde est rempli de beauté, sous un nombre immense de formes. L’iridescence des plumes d’une pie, l’ambre d’un coucher de soleil, la danse d’une abeille butineuse… Toutes ces choses sont parfaitement banales, mais contiennent une part de magie lorsque l’on leur accorde notre attention.

Ce sont ces beautés que je souhaite immortaliser et retranscrire à travers ma photographie.